Pour finir ce bout de soirée... Bauhaus dans l'air

Aujourd'hui, je me suis mordu les doigts tellement que je l'attendais. Maéva. Mon ex. J'attendais un signe de vie, et rien ne venait. Jusqu'à ce soir, après lui avoir envoyé un email lui avouant une partie de mon impatiance. Je lui ai dit dans cet email que si elle ne voulait plus me parler, il fallait qu'elle me dise. C'est vrai que dans le fond, notre relation s'est transformée. C'est elle qui est au-dessus de moi. Elle a un garde d'ange protecteur, et pourtant c'est elle qui m'a fait du mal. Mais je ne peux pas me passer d'elle. J'ai sans cesse besoin de savoir comment elle va, de lui dire mes tourments, ce qui ne va pas.
Elle m'a envoyé un SMS, ce soir, après cet email qu'elle n'avait pas encore lu. "Je vais me connecter un peu plutard ce soir." Et elle s'est connectée.

On a discuté longuement sur notre relation actuelle, comment elle avait évoluée. On a parlé aussi de sexualité, et sur les relations homme-femme. Tiens, d'ailleurs, j'en parlerai plus clairement dans un autre sujet, une autre fois. En tout cas, tout ça n'a eu que du bon. On a remué certains endroits où il y avait de la vase, des zones d'ombre. Cetaines j'ai dit, pas toutes. Mais ça fait du bien...

Demain, je repars sur Bordeaux. Bordeaux et ma chambre universitaire. Un bon 10m² pour moi tout seul... avec dedans des souvenirs immuables d'une petite vie d'amoureux. Je finis ce post, avec la musique enivrante de BAUHAUS... il est 1h du matin passéé, et demain, je prends le train à 8h.